23 mai 2016
Rien de plus rassurant que de me dire que tout
Rien de plus rassurant que de me dire que tout est de ma faute. Rien à regretter puisque "je suis comme ça" ; impossible de refaire le match, je dors sur mes deux oreilles. Par contre, penser que le cadre a joué, c'est ça qui fait flancher. Là, on perd tout repère et on essaie alors vraiment (ou vainement) de construire une pensée sur les choses. Il faut se le redire encore et toujours : rien de plus rassurant que « la liberté », rien de plus inquiétant que « le déterminisme ». On bute encore et toujours dessus, on n'en sort pas.
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